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Katkey:7555632
Volltext:NOTES INTRODUCTION 1. —-H. BATAILLE, La Presse , in J. des Artistes, 16 sept. 1894 ; BATAILLE était pourtant alors le rédacteur en chef du journal. 2. —-Il existe sans doute des affinités plus profondes entre les deux mouvements; voir à ce sujet Ruth MOSER, L'Impressionnisme français, Genève, Droz, 1952, et une étude comme celle de Suz. BERNARD, Rimbaud, Proust et les impressionnistes (in R. Sciences hum., 1955, p. 261). PREMIÈRE PARTIE : CHAPITRE PREMIER 3. —• Th. GAUTIER avait loué le tableau de Manet : Il y a beau­coup de talent dans cette figure de grandeur naturelle, peinte en pleine pâte, d'une brosse vaillante et d'une couleur très vraie. (Moniteur Univ., 3 juillet 1861 ; et non dans La Presse comme le dit MOREAU-NÉLATON, Manet, I, p. 32.) 4. —• Sur CASTAGNARY, cf. SPULLER Figures disparues, 3e série, Guéry, 1894. 5. Paul MANTZ (1821-1895); il deviendra en 1882 directeur général des Beaux-Arts. 6. —Théophile THORÉ (1807-1869), critique d'art à partir de 1832 ; proscrit en 1849, vécut en Angleterre, Belgique et Hollande et écrivit désormais sous le pseudonyme de William Bürger. Cf. REBEYROL (Ph.) Thoré (in Butlington Mag., juillet 1952). 7. MOREAU-NÉLATON, Manet, p. 69. 8. Cité par J. REWALD, Cézanne, p. 95-96. 9. Depuis qu'il a été découvert, ce texte du Figaro a été sou­vent inexactement cité et encore par M.-L. KEMP, Cézanne's critics (in The Baltimore Museum of Art, News, dèe. 1957). Reste un mystère que nous n'avons pu éclaircir. Le Figaro cite expressément Le Nain Jaune qui publiait effectivement des échos d'A. MORTIER : nous n'avons pourtant pu y retrouver celui-ci ; pourquoi de son côté ZOLA se réfère-t-il à LyEurope ( ?). 10. Albert WOLFF (1835-1891), critique et chroniqueur d'ori­gine allemande ; l'influence redoutable qu'il a exercée au' Charivari puis au Figaro a été dénoncée même dans un livre, qui lui est dans l'ensemble sympathique (G. TOTJDOUZE, Albert 279 Notes Wolff y Harvard, 1883) : Celui-ci est de tous celui qui nous a fait le plus de mal. 11. Théodore DURET (1838-1927), connu surtout pour avoir publié en 1878 le premier livre sur la peinture nouvelle, Les Peintres impressionnistes. 12. Selon Antonin PROUST, le terme d'impressionnisme aurait déjà été en usage autour de Manet vers 1858 ! (Cité par Cogniat, Au temps des impr., 1953). CHAPITRE II 13. Armand SILVESTRE (1838-1901), connu surtout pour ses ouvrages légers, fut critique d'art à L'Opinion nationale, puis à La Vie moderne et devint inspecteur des beaux-arts. Cf. P. VERLAINE, A. S. (in Les Hommes d'aujourd'hui, 265), 14. Philippe BURTY (1830-1890), ami des Goncourt, critique d'art de La République française. Il a écrit aussi le roman d'un peintre impressionniste Grave imprudence (1880). 15. J. REWALD, Cézanne, p. 89. 16. Dans L'Art moderne, A. SILVESTRE avait également publié quelques mois avant l'exposition de janvier 1876 un article favorable aux intransigeants de l'art moderne. C'est en 1876 aussi que parut une brochure qui, malgré quelque incertitude dans les jugements, n'en est pas moins le premier livré consacré au mouvement ; La Nouvelle peinture, de Duranty. 17. Dans Renoir et ses amis, p. 89, G. RIVIÈRE raconte que Renoir connaissant bien Gambetta aurait été en avril 1877 aux bureaux de La République française pour le prier de faire passer un article sur l'exposition ; reçu par Challemel-Lacour, Renoir s'entendit répondre : C'est impossible, ce serait scan­daleux ! Mais vous ignorez donc que vous êtes des révolution­naires ? Mais Gambetta qui trouva cette réponse plaisante et qui s'estimait lui aussi révolutionnaire , ne s'opposa pas aux articles de Burty. 18. G. RIVIÈRE avait déjà en 1876, donné un compte-rendu enthousiaste de la exposition dans un hebdomadaire qui publiait d'ailleurs son dernier numéro, L'Esprit moderne du 13 avril. Cf. Renoir et ses amis, p. 158. CHAPITRE III 19. Sur J.-K. HUYSMANS critique d'art : Henri JouviN, in Cahiers Jt-K. Huysmans, 20, 1947 ; R. BALDIOK, Vie de J. K. H., Denoël, 1958, p. 64-66 et 92-100. En 1879, c'est Zola qui avait imposé Huysmans à la direction du Voltaire , * le pre­mier article paru le 17 mai amena des protestations et des 280 Notes désabonnements mais Zola insista pour que les promesses fussent tenues. Le 19, Céard qui collaborait au même journal écrivait à Zola : Vous n'imaginez pas l'épouvante.— et le mot n'est pas exagéré —- l'épouvante que nos articles inspirent à la rédaction tout entière. Elle crie au sacrilège, positivement, lève les bras au ciel et parle du Salon de notre ami avec des intonations de désespoir d'un comique à mourir de rire. (Cité par Baldick, p. 66). - A 20. La Justice du 16 janvier 1880, rendant compte de l'expo­sition de Monet à La Vie moderne en quelques lignes favorables, l'appelle sans hésiter Claude Manet. 21. Pour être complet, il faudrait faire état d'un article publié par Zola en 1879 dans Le Messager d'Europe : paru en russe, cet article fut remarqué par la Revue bleue du 26 juillet qui en publia quelques lignes peu favorables à Manet et aux impres­sionnistes ; ces lignes furent reprises par Le Figaro du 30. Zola protesta en affirmant que la traduction avait déformé sa pensée. Un chercheur américain s'est aperçu que le traducteur russe avait confondu une fois de plus Monet et Manet. Il en résulte que les formules les plus dures visaient le premier (F. W. J. Hemmings, E. Z. critique d'art, in Zola, Salons, Genève, Droz, 1959.) 22. G. MACK, Cézanne, p. 220. 23. —-Le nom a été donné par Arsène Alexandre dans L'Evéne­ment du 10 décembre 1886. Dans Les historiens d'art et la tech­nique impressionniste (in Etudes d'artt Alger, VI, 1951), François FOSCA affirme que ces théories pseudo-scientifiques oiit in­fluencé certains historiens d'art au point de leur faire voir des tons juxtaposés les peintres ne les ont jamais employés. 24. Roger MARX (1859-1913). Grâce à lui les Impressionnistes figureront à l'exposition centennale de l'Exposition Uni­verselle de 1900. 25. Sur Félix FÉNÉOST (1861-1944), cf. J. PATTLHAN, F. F. ou le critique, Gallimard, 1945, J. REWALD, F.F. (in Gaz. J3- Arts, août 1947, février 1948). 26. Octave MIRBEATJ (1850-1917), dont on se souvient surtout comme romancier et comme dramaturge, a joué un grand rôle dans la critique à cette époque. CHAPITRE IV 27. Sur G.-Albert AURIER (1865-1892), cf. M. COULON, Une minute de l'heure symboliste, A. Aurier, 1921. 28. Les deux textes de J.-K. HUYSMANS sur les expositions de 1881 et 1882 semblent d'ailleurs être restés inédits et n'avoir été publiés que dans le volume L'Art moderne en 1883. 281 Notes 29, : Cité par MONDOE, Mallarmé, p. 589 sq. L'article de Mirbeau avait d'abord été proposé par lui au Figaro. 30, Sur Gustave GEFFROY (1855-1926), cf. Jean ADHËMAR, Catalogue de l'Exposition Gustave Geffroy et Vart moderne (Préface de J. CAIN, avant-propos de J. VALLERY-RADOT) Bibl. Nat., 1957. 31, Sur le legs Caillebot'te, on pourrait consulter encore les articles suivants : J. des artistes, 5 août ; ibid., 10 février 1895 ; L'Eclair, 9 mars 1897 ; Figaro, 13 mars 1897 ; Chron. des arts et de la curios., id. ; Le Voltaire, 16 mars 1897. Voir aussi : G. BAZIN, Trésors de V Impress., 1958, p. 42-48. DEUXIÈME PARTIE : CHAPITRE V 32. Sur le choix des éditeurs du 3e Parnasse, cf. H. MONDOE, D'Affaire du Parnasse, Ed. Fragrance, 1951 ; M. TOURNIER, Du nouveau sur l'affaire du Parnasse (in Figaro litt., 29 mars 1958.) 33. —. Baron Schop : le pseudonyme, fréquent dan3 Le National, semble avoir recouvert plusieurs chroniqueurs, entre autres Edmond TEXIER et François COPPÉE. La lettre de MALLARMÉ à Swinburne est cité par MONDOE, 1. c., p. 382. 34. —. Sur Charles MORICE, cf. Paul DELSEMME, Un théoricien du Symb., Nizet, 1958. 35. —• L.-G. MOSTRAILLES, Tètes de pipes, 1885, p. 161. 36. Sur Jules LEMAITRE (1853-1914), cf. Henri MORIER, J. Le-maître, Perrin, 1924. 37. Les auteurs des Déliquescences semblent être eux-mêmes à l'origine de l'affirmation selon laquelle Paul Bourde aurait pris le livre au sérieux. Une réédition faite en 1911 chez Crës évoque dans la préface (p. 6) le critique du Temps et ajoute : Quand on saura que ce grave critique —nous ne le nommerons pas, afin de contrister personne consacra un long et solennel article à étudier minutieusement Les Déliquescences et à réfuter leur soi-disant auteur, on ne s'étonnera plus de la notoriété qu'obtint cette innocente supercherie. E. RAYNAUD jette le doute sur les intentions de Bourde {La Mêlée symb., t. III ; En marge de la mêlée symb., p. 277) ; également A. DINAR, La Croisade symb., p. 9 ; et la plupart des historiens du mvt. 38. L'étude de Pica fut traduite par FÉNÉON et reprise trois ans plus tard dans La Cravache parisienne, du 3novembre 1888. Sur Vittorio Pica, cf. Studi francesi, 3, 1957. 282 Notes CHAPITRE VI 39. Sur les conditions dans lesquelles fut fondée La Décadence, cf. MONDOB, Mallarmé, p. 491. 40. R. GHIL appuie sa conception instrumentiste de la poésie sur les théories d'ÜELMHOLZ, concernant les harmoniques (Cf. MICHAUD, Message du symb., p. 350). Il y a une tentative pseudo-scientifique très proche de celle que venaient d'orches­trer quelques mois plus tôt les peintres néo-impressionnistes : cf. supra p. 124-125. 41. De cet article pourrait être rapproché celui que publia FRANCE dans Le Temps du 28 octobre 1888, sur la langue dèca-dente cette fois ; il concluait à propos des jeunes poètes : Ils sont sincères : une affreuse maladie déprave leurs sens. Le langage décadent n'est que le commencement de l'aphasie qu'amène la paralysie générale. 42. Ferdinand BRUNETIÈRE (1849-1906) ; écrit à la Revue bleue et à la Revue des deux-mondes à partir de 1875 ; devient direc­teur de cette dernière revue en 1894. CHAPITRE VII 43. La formule d'E. RAYNAUD est tirée de La Mêlée symb.t 2e série, p. 5. 44. A propos des interviews, on doit.citer l'interview célèbre mais apocryphe de Renan par BARRÉS, publiée sous le titre Huit jours chez M. Renan, 1889. Voir aussi Le Temps, 21 oct. 1894. 45. Sur Jules HURET, cf. J. BERTAUT, Chroniqueurs et polê-mi8test Sansot 1906, p. 127-144. C'est dans VEnquête d'HuRET que se trouve la fameuse réponse télégraphique de Paul ALEXIS : Naturalisme pas mort, lettre suit. CHAPITRE VIII 46. Je tiens à souligner ici tout ce que ce chapitre doit au livre de M. ETIEMBLE, Le Mythe de Rimbaud (Gallimard, 1954), dans lequel l'auteur a suivi pas à pas et jusqu'à une date récente les informations et les jugements souvent contradic­toires donnés sur le poète. 47. VERLAINE, A. Baju (Les Hommes d'auj., 332, 1889) : cf. supra p. 205. 283 Notes CHAPITRE IX 48. Dans Le Voltaire An 15 janvier, Kaoul DESERT comparait l'émotion provoquée par la mort de VERLAINE à l'indifférence au milieu de laquelle avaient été enterrés deux gros drama­turges millionnaires et archinoioires. Il s'agit de DUMAS fils, mort en 1895 et sans doute d'Emile AUGIER, mort en 1889. 49. Le Télégramme de Toulouse qualifie même Verlaine de rossignol de la décadence (11 janvier 1896). CONCLUSION 50. Lettres de Gauguin (Grasset, 1946), p. 290. 284
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Dateiformat:application/pdf
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